Des revues


Des revues consacrées à la littérature ou l’autobiographie. D’autres, dans un contexte plus général de formation, consacrent une partie de leur production à la démarche autobiographique, aux histoires de vie, à l’écriture, ou au hasard d’un numéro, un article, un dossier à un de ces sujets.


 

Le surréalisme 100 ans après


Le dossier de Lire Magazine n°528 - Avril 2024


Sommaire :


  1. Le grand entretien : Thomas Schlesser, le phénomène "Les yeux de Mona " 
  2. L'univers d'une écrivaine : Évelyne Bloch-Dano
  3. Notre dossier : Le surréalisme, cent ans après. Un dossier spécial consacré à André Breton et ses amis (Apollinaire, Aragon, Éluard, Desnos…). Un retour complet sur ce courant qui bouscula tout sur son passage, son héritage et sa bibliothèque idéale.
  4. Le portrait : Alexis Laipsker
  5. L’enquête : Des romans bien dans leur bulle
  6. Nos extraits en avant-première :
    - La Route de Manu Larcenet
    - Vallée du silicium d'Alain Damasio
    - Les Effacées de Bernard Minier
  7. Inclus : 13 extraits de livres qui font l'actualité, accessibles grâce à un QR code !




 

Emile Zola, les combats d'un écrivain


Un Hors-série du MONDE


Il est toujours utile de relire Zola. L'écrivain qui décrit la montée de la bourgeoisie, de l'argent, de la corruption et des passions humaines. Le naturaliste au style torrentiel d'une sensualité épique. Le pamphlétaire du "J'accuse" qui défend le capitaine Dreyfus et pourfend l'antisémitisme. Portrait, entretien, textes choisis, débats, hommages, lexique.

Dans un hors-série, « Le Monde » vous propose de redécouvrir le romancier qui a si bien décrit la montée de la bourgeoisie, de la corruption et des passions humaines



 

« À contre-courant : arts, politique et transformation sociale »


L'introduction de la revue PASSERELLES n° 25-mars 2024


L’art est souvent présenté comme synonyme d’esthétique, de beauté, neutre socialement et politiquement. Or, que ce soit en faveur du statu quo ou bien de la transformation sociale, l’art contribue à façonner nos modes de pensée, de sentir, d’aborder le monde. Le pouvoir de l’art a été largement utilisé par les puissant·es dans l’Histoire : au service de régimes fascistes ou dictatoriaux, les artistes officiel·les ont été de puissants outils de propagande. À l’inverse, les arts peuvent être des vecteurs importants de changements vers plus de justice sociale, plus de respect de l’être humain et de l’environnement. Loin de la « neutralité » de l’art et de l’esthétisme pur, certains courants de l’activisme artistique revendiquent leur lien intrinsèque avec les mouvements sociaux qui agitent leurs sociétés.



 

Publication d'un Cahier Hors série sur l'Algérie

   

Ce cahier, Guerre d'Algérie -engagements et expériences, réalisé à partir de textes déposés à l'APA, n'était jusqu'à présent accessible que par téléchargement en ligne.


  • Textes choisis et introduits par Véronique Leroux-Hugon 
  • Préface de Paquito Schmidt
  • Contribution de  Jade Cazorla

 

Une version imprimée est désormais disponible au prix de 13 euros.

 

 



La préface de

Paquito Schmidt

(11/11/2022)


 

Leurs plus belles lettres d'amour


C'est le dossier du numéro 527-mars 2024 de la revue LIRE


Au sommaire de ce numéro :

Le grand entretien : Jean-Christophe Rufin
L'univers d'une écrivaine : Ryoko Sekiguchi, l'impératrice des sens
Notre dossier : Sand et Musset, Camus et Casarès, Hugo et Drouet, Cocteau et Marais, Miller et Nin, Dumas, Woolf... Leurs plus belles lettres d'amour ! 

L’art de la correspondance intime; Les meilleurs romans épistolaires

Nos extraits en avant-première :
- L'Origine des larmes, deJean-Paul Dubois
- Holly, de Stephen King
- Sang neuf, de Jean-Christophe Chauzy
Inclus : 14 extraits de livres qui font l'actualité, accessibles grâce à un QR code !



 

Voyage au bout de la folie


Dans la revue "Le 1"


Ce nouveau numéro du 1 des libraires vous propose de mettre nos bibliothèques sur le divan, pour mieux analyser ces liens serrés entre littérature et santé mentale. Car, bien avant les psychiatres, les romans ont permis de mieux comprendre ceux qu’on appelait les aliénés, de prendre la mesure de leurs pathologies – de la dépression d’Emma Bovary à la mythomanie de Tartarin de Tarascon, de la paranoïa du narrateur du Horla au trouble dissociatif dont souffre le bon docteur Jekyll.


En seconde feuille, notre « Bibliothèque idéale » nous plonge dans l’œuvre d’une romancière hantée par la question de la santé mentale, en se consacrant à Mrs Dalloway, de Virginia Woolf.



 

Banlieues 


Le dossier du numéro 95 - février 2024 de la Faute à Rousseau, revue de l'APA


Il n’est pas si fréquent que La Faute à Rousseau choisisse, comme thème de son dossier, un type de zone géographique. En 2009 cependant, elle avait traité des Villes (FAR n° 50). C’est seulement quinze ans après qu’elle aborde l’autre part du diptyque avec Banlieues. De quelles banlieues va-t-on parler ? Des banlieues ouvrières, des banlieues dortoirs, des banlieues résidentielles ? Il y a tant de banlieues diverses autour de nos villes.

L’image de la banlieue est souvent négative ; on a tous dans la tête des histoires de cités qui s’enflamment, au propre et au figuré. Image évidemment limitative. Mais l’axe autobiographique de la revue l’impose : avant tout, ce que nous chercherons à montrer, c’est comment ses habitants disent vivre en banlieue ; comment ils y travaillent, se déplacent, se distraient. La place qu’elle occupe dans leurs souvenirs d’enfance. Le poids affectif ...






Résitants


Un hors-série du journal LE MONDE - février 2024


Avec Missak Manouchian, ce sont tous les condamnés à mort du procès, les « 23 » de l’Affiche rouge et tous les résistants étrangers qui entrent au Panthéon. Qu’ils soient Arméniens, Italiens, Hongrois, Espagnols, Polonais, et pour beaucoup juifs, ils se sont tous battus, ont été torturés, déportés ou assassinés pour libérer la France de l’occupant nazi et du régime de Pétain. Entretiens, infographies, reportages, portraits, témoignages, en hommage aux combattants étrangers morts pour la France et la liberté.




 

Liaisons dangereuses


Le deuxième numéro de la revue Kometa s'intitule Liaisons dangereuses. Il vient de paraître le 24 janvier 2024.

 

Comment se construit-on un ennemi ? Faut-il se réconcilier ? L’adversité empêche-t-elle l’amour ? Dans ce numéro 2, Kometa vous embarque dans les méandres de passions intimes et de trahisons géopolitiques. Vingt récits par les plus grandes autrices et auteurs de l’Est et de l’Ouest pour comprendre et ressentir notre monde. 208 pages d’amour et de fraternité dans le chaos.


La revue qui se tourne vers l’Est pour comprendre le monde.

Une revue indépendante et sans publicité. Chaque trimestre, 208 pages de récits littéraires, photographie d'auteurs, débat d'idées, cartes, recommandations culturelles...




Le numéro 1

 

Les écrivains et l'alcool : l'ivresse des lettres


Au sommaire de ce numéro 526 :


  1. Notre dossier :  Les écrivains et l’alcool
  2. Le grand entretien : Hervé Le Corre
  3. L'univers d'une écrivaine : Cécile Coulon
  4. Le portrait:  Nathan Devers
  5. L’enquête: Sylvain Tesson, les fées qu’ils nous fait
  6. Les 50 livres de la rentrée préférés de LIRE


Et 12 extraits de livres qui font l'actualité, accessibles grâce à un QR code




 

Ces écrivains qui donnent leurs brouillons à la BnF


Le dossier du numéro 99 de la revue CHRONIQUES de la BNF


Placé sous le signe du don, le numéro 99 de Chroniques consacre un dossier aux écrivains et écrivaines qui ont choisi de léguer ou donner leurs manuscrits à la Bibliothèque. De Victor Hugo à Annie Ernaux, en passant par le dramaturge Wajdi Mouawad, et le mathématicien Alexandre Grothendieck, Chroniques retrace l’histoire de ce geste singulier qui a également conduit les membres du groupe punk Bérurier Noir à confier à la BnF leurs archives, exposées en galerie des Donateurs à partir de février 2024.



 

Daniel Arsand - Apprendre ce que l’on est, avec ou malgré le regard des autres   


Le dossier du n° 51  de la revue LES MOMENTS LITTERAIRES

 

Tour à tour libraire, conseiller littéraire, attaché de presse, éditeur de littérature étrangère chez Phébus, Daniel Arsand a consacré sa vie professionnelle aux livres et aux auteurs. Écrivain, il publie son premier livre à trente-neuf ans. « J’ai attendu d’être libre. J’ai attendu la mort de mes parents pour publier. »

Dans son œuvre romanesque, la violence règne. Le viol, la haine, la vengeance, les destins sombres sont toujours présents. Cette vision brutale des rapports humains est en partie la résultante des épisodes traumatisants d’une jeunesse solitaire qu’il a décrite notamment dans son dernier récit autobiographique, Moi qui ai souri le premier (Actes Sud, 2022).

Tout lecteur de Daniel Arsand qui le rencontrera sera étonné par la dualité qui existe entre la brutalité qui habite chacun de ses livres et la gentillesse, la bonhommie qui émane de lui. Benoîte Groult lui a dit « Vous êtes tellement doux et vous écrivez des livres d’une rare violence ! »

Le dossier que nous lui consacrons débute avec un portrait de l’auteur par Christian Chavassieux, se poursuit par un entretien avec Daniel Arsand et des extraits de son Journal.

 


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